• Sexe ; Masculin
   • Âge ; 21
   • Origine ; Anglaise
   • Race ; Humain
   • Sexualité ; Inconnu
   • Groupe ; Habitant
   • Personnage utilisé ; Création original du studio Cyber agent 600
   

   

   

Signes distinctifs; Cheveux réglisse, yeux chocolats, teint de crème. Pas un tatouage ni un piercing, une peau douce, une odeur agréable, un sourire adorable....

   

   • Ton épice préférée ; Le sel
   • Ta couleur favorite ; Le bleu
   • Vin ou bière ; Eau?
   • Animal favori ; Le chat
   • Ton habit préféré ; Le kimono
   • Ton passe-temps favori ; Ecrire
   • Pégase, Poney ou Licorne ; Poney
   

   

   

Lucius est d'un caractère doux, gentil et agréable. C'est le genre de personne qui tend facilement la main et n'hésite pas à aider les autres, quitte à s'en faire taper sur les doigts. Que se soit des hommes ou des bêtes, il détestent les voir mourir de faim, de soif, ou se retrouver sans abris. Cela lui a d’ailleurs valut bien des soucis car on profite beaucoup trop souvent de sa gentillesse. N'étant pas du tout imposant et refusant de faire souffrir les gens, il se fait marché dessus facilement et pourtant...

Et pourtant, dès qu'il a une plume en main, son cœur se ferme. Curieux de nature, Lucius va toujours fouiner ou il peut, découvrir ce que l'on cache, et une fois chez lui, papier sur le bureau et encre prête à fuser, c'est toute ces pensées les plus retenue qui font surface. Lui qui d'ordinaire est la gentillesse et l'amour incarné, en tant que journaliste, il devient dur, intraitable, vous blessant le cœur ou poignardant votre affaire avec des mots aussi tranchant que des lames de rasoir. Il n'y à alors plus d'ami, plus de famille, plus de cause juste... Juste des fait annoncé avec fermeté.

Pas du tout porté sur le charme, le flirt, l'érotique ou le charnel, Lucius est le genre de personne qui détourne les yeux à la vue d'un décolleté, de bas, ou même d'un torse nu. Très pudique, il ne laisse aucune des partie de son corps à vue si ce n'est son visage et ses mains. Vierge autant du corps que des lèvres, il évite tout contact qui lui pourrais lui paraitre trop intime.

De toutes les choses qu'aiment Lucius, les félins sont en tête. Il adore les chats au point d'en avoir sauver deux de la rue et de leur permettre même de dormir dans ses bras et dans son lit. En revanche il a une peur bleu de toutes les bêtes à plumes.
   

   

   

Il y à les riches, qui obtiennent tout ce qu'ils veulent en claquant des doigts: Amour, repas, maison...

Il y à les pauvres, qui volent par désespoir, tombent malades à dormir sous la pluie, meurt de faim...

Il y à ceux entre deux, qui galèrent toute une vie, se tuant au travail pour juste avoir un toit au dessus de la tête et un morceau de pain dans l’assiette.

Léonard McAnders aurait du faire partit de ces derniers, sont métier de journaliste ne payant pas autant que ça mais l'homme à l'esprit affuté avait réussi à doper son train de vie d'une bien étrange manière.

Parcourant les bar, il récoltait les ragots. Alliée des sans-abris, il obtenais sans difficulté les infos que seul ces gens qui se fondent dans le décor pouvaient entendre. Ennemi des riches, il les faisaient chanter pour garder leurs secrets cachés et ceux qui ne payaient pas se retrouvaient en première page dans le journal du lendemain. Léonard McAnders fit sombrer bien des famille dans la faillite à agir ainsi...

Plus tard, il rencontra une jeune femme pour qui il eu le coup de foudre: Rose. Bien qu'elle connaisse son métier, il ne lui avoua jamais le chantage qui se cachait derrière et celle-ci, ayant tout de même un bon train de vie grâce à ça, ne se posa jamais la question. Peut de temps après leur mariage naquit un jeune garçon à qui l'ont donna le nom de Lucius.

Choyé principalement par sa mère, Lucius appris l'amour des bêtes, la gentillesse, la charité et même la cuisine. La seul chose qu'elle demandait à son fils, c'était de n'aimait qu'elle et brave comme le jeune fils qu'il l'était, il le fit. Il ne voyait pas d'autre femme que sa mère, ignorant les appels du cœur des demoiselle au point de ne plus voir du tout ces petites choses qui sont censés vous faire comprendre que l'ont vous aime. Si vous espérez ainsi qu'il soit charmant à vous offrir une rose ou un diner au chandelle, vous pouvez toujours attendre.

De son père, il apprit l'écriture mais surtout la curiosité pour les affaires et le besoin de faire éclater la vérité, ou plutôt, de s'approprier tout les secrets des autres. Dès son plus jeune âge, il lui apprit a fouiner sans en avoir l'air, à avoir l’œil grand ouvert et les oreilles au aguets, à faire abstraction de ces sentiments pour n’écrire que la dure réalité. Sans doute a-t-il trop bien était élever pour cette dernière chose d’ailleurs, Lucius faisant abstraction de tout quand il écrit ses articles sous le nom de "Maestro", en effet, son père lui ailleurs toujours dit de ne jamais posé son nom pour éviter les problèmes. En revanche, les marchandage du père, restèrent pour le fils, totalement inconnu. Lucius le voyait et le voit toujours comme un héro et non pas comme le vil chanteur qu'il était.

L'école fut la période la plus difficile pour Lucius. Nombreux étaient les enfants qui s'acharnaient sur lui à cause de ce que son père avait écrit. Finalement les seuls qui ne le frappait ou ne le fuyait pas, c'étaient les chats. Lucius devient par la suite un vrai fan de ces bêtes à la fois attachante et totalement indépendantes. En revanche, il finit par avoir une trouille bleu des oiseaux, et pour cause, le souvenir désagréable de ces époques du lycée: Il aimait les chats? Soit, la bande de racaille avait alors décidé de le considéré comme un minou et de lui faire avaler un oiseaux mort... Et oui, les jeunes ruinés sont bien cruels...

A force de jouer avec le feu, Léonard McAnders finit sans doute par toucher à ce qu'il ne fallait pas: Le manoir. Laissant à son fils son travail au seins du journal local, il passa son temps à fouiner, se faisant tantôt passé pour un client, tantôt devenant un sans-abris qui observe en silence dans la ruelle d'en face. Peu à peu son bureau, au sein de la maison, se remplissait de nouvelle question dont la plus grosse, en lettre rouge: Qu'est-ce donc vraiment que cet endroit?

Il y a trois mois, d'un coup, il disparut. Lucius et sa mère, inquiet, lancèrent un avis de recherche mais rien n'y fit. Tout en continuant son travail pour le journal, Lucius fit la promesse à sa mère de le retrouver et repris l'enquête de son paternel ou il l'avait laissé. Si il trouvait ce que son père cherchait, il le retrouverais sans doute aussi...
   

   

   

   • Comment es-tu là ; Par l'autre taré d'ange aux plumes noirs
   • Code ; Nico Nico Nii~
   • Pays ; France
   • Âge ; 26