Sous ma forme de Korrigan je fais 30 centimètres, mes cheveux verts foncé me tombent jusqu'au épaules et un jolis petit barbiche vert foncé, j'ai des petits yeux espiègles verts foncés également, j'ai également de merveilleuse oreilles pointues.

Sous ma forme humaine je fais 1m60, mes cheveux sont plus court et leurs pointes sont noir et un épis imposants se forme sur le haut de mon crâne, mes yeux n'ont plus leur lueurs espiègles et prennent une légères teinte turquoise et mes oreilles pointues ont disparues.

Quinze ligne minimum ♥

A l'aube de ma longue vie de Korrigan, je suis nés sous un dolmen en Bretagne près de Brest. Un vieux dolmen qui a tenu dans une foret proche de la ville. J'ai vite grandis et je suis partis sous un autre dolmen un peu plus élaboré et plus grand, puis j'ai vite fait de mettre mes talent de Korrigan à profits: du haut de mes 30 centimètres j'ai volé assez de pièces de bois et de fer aux humains pour me fabriquer un rouet à ma taille, puis j'ai volé de la paille aux fermiers du villages, et j'ai commencer à filer. J'ai filer toutes la paille que je trouvais, chaque brindilles filées par mes petites main précise devenais une brindille d'or pur. J'aurais pus garder cet or pour moi, mais je décidas de m'amuser avec l'avidité des humains.

Je cachais les brindilles d'or dans des endroit fréquenté par des jeunes personnes, et pour faire passer le temps, j'ai décidé de prendre une forme humaine et d'attendre. J'ai au passage découvert le poivre qui est utile pour faire des farces au gens en le glissant dans leur verres. Trois jours passèrent sans rien, puis le quatrième jour un enfant est venus me dire qu'une rumeur courait disant qu'un fermier avait une fille capable de changer la paille en or. Il m'as indiquer la maison, je m'y suis rendus. J'y ait repris ma vrai formes et me suis caché dans la maison pour surprendre une conversation entre le maire et le fermier en présence de la fille de ce dernier.

En résumé, le maire fais pression sur la famille pour que la fille continue de produire de l'or. Bien, mon piège à fonctionné étant donné que le maire tient des brindilles d'or. Le soir venus, la jeune fille s'était enfermé dans sa chambre à sangloter de désespoir. J'avoues que j'éprouvais un peu de plaisir a la voir pleurer comme cela, mais je me suis finalement montré. J'ai promis a la jeune fille de l'aider, mais a deux conditions:

-Lesquelles?

Avait-elle demandée.

-Eh bien premièrement: tu ne dois parler de notre accord à personne, sinon tout le monde me voudras et ma vie sera infernales. Deuxièmement, j'exige le premier enfant que tu auras pour des raisons m'appartenant.


Elle accepta immédiatement sans se poser de questions. L'enfant je comptais l'abandonner à une autre famille, mon sadisme à des limites. Je lui ais dis de m'attendre quelques minutes le temps d'aller chercher mon rouet puis je lui ais dit de me rejoindre dans sa grange. Puis je me suis mis à filer toute la paille qu'elle m'apportait. Et étrangement le maire avais disparus une semaine après que j'ai transformé toute la pailles de deux fermiers en or.

Puis je me suis fait discret pendant les 10 année suivantes, l'accord ne tenait plus étant donné que le maire est partis avec la richesse que j'avais filer. J'ai regarder cette fille grandir, pleurer sur la tombe de son père mort de maladies. Se marier également avec un jeune homme et avoir un enfant, puis un deuxième l'an d'après. Mais pas de trace de volonté d'honorer sa promesse. J'ai donc attendus un moment qu'elle soit seule, pour venir lui rafraichir la mémoire, mais cela a finis en dialogue de sourd, donc je lui ai proposer une chose plus simple: elle a trois jour pour trouver mon prénom, auquel cas au bout de trois jour elle me donneras son premier enfant, si elle refuse encore je lui ais promis de lui rendre la vie infernale jusqu'à ce qu'elle se décide.

Dans la minute qui a suivis elle à déballé tout les prénoms lui passants par la tête. aucun n'était le bon, j'avais bien évidemment anticipé en ne révélant pas mon prénom. Le jour suivant je me rendis à la même heure chez elle attendant un moment de solitude avec elle. Elle a à nouveau déballé un tas de prénom, dont la moitié inventé. Je suis repartis en lui rappelant qu'il ne lui restait qu'un jour. Et je suis repartis en chantonnant. Le lendemain je revenait tout souriant, une fois devant elle, elle avait un sourire tout comme le mien aux lèvres, je me disais que rien de grave n'allait arrivé, puis "Rumpelstiltskin". C'était bien mon nom, pourtant rien n'aurais pus l'indiquer...à part la chansonnette que j'ai chantée, hier en repartant. Quelqu'un ma forcément entendus. J'étais en colère tellement que je me suis mis a taper du pied les vielles planches pourries de la ferme, c'est la que la force (impressionnantes pour nos tailles) des Korrigan est intervenue: je suis passé au travers du plancher de la ferme pour atterrir dans une cave plus vielle que la fille. J'ai attendus la nuit pour m'échapper.

Avec mes 30 centimètres il m'as été facile de passer de transports en transports, jusqu'en Angleterre, ou je repris forme humaine discrètement et me faisant passer pour un voyageur. Jusqu'à arriver au pied d'un somptueux manoir (selon moi) mais qui manquait de dolmen par-ci par-là. En rentrant je sentis immédiatement que le personnel était différent de la clientèle, les lutins et les Korrigans le sentent immédiatement. Puis je me suis présenté comme barman puisqu'ils en cherchaient au manoir, autant mettre ma capacité à faire du bon cidre -doux comme brut- a profit, et comme ça je fais quelque chose pour gagner ma vie, les dolmen d'Angleterre sont quasi inexistant et moins beau qu'en Bretagne.

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