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 I've got the magic in me | underco'

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Hohenheim Von Ludwig


Hohenheim Von Ludwig
• Avatar : Märchen von Friedhof

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• Date d'inscription : 21/07/2015



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MessageSujet: I've got the magic in me | underco'   I've got the magic in me | underco' EmptyMar 21 Juil - 7:47



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Hohenheim von Ludwig



• Sexe ; Masculin
• Âge ; 52 ans
• Origine ; Allemande
• Race ; "Humain"
• Sexualité ; Hétérosexuel
• Groupe ; Personnel
• Travail ; Magicien
• Personnage utilisé ; Märchen von Friedhef, Sound Horizon


• Ton épice préférée ; Ces temps ci j'aime bien la Myrrhe, on peut s'en servir pour presque n'importe quoi! Comment ça, ce n'est pas une épice?
• Ta couleur favorite ; Le noir, c'est une couleur très pratique. J'ai toute une collection de chandelles de cette couleur, je vous montre?
• Vin ou bière ; Hydromel. Je fais le mien moi-même, je vous offre un verre?
• Animal favori ; Le hibou, symbole de la nuit et de la sagesse.
• Ton habit préféré ; Un beau et long manteau de bonne facture. Je laisse les chapeaux pointus à mes homologues féminins.
• Ton passe-temps favori ; La lecture, la découverte, les expériences disons... Farfelues?
• Pégase, Poney ou Licorne ; Considérant que les pégases et les licornes me fuiraient probablement, je m'en remettrai aux poneys.


L'ABC du Sorcier ;


Qu’est-ce qui fait d’un sorcier ce qu’il est? Quelle est la différence fondamentale entre l’homme moyen et cet autre individu mystique aux pouvoirs hallucinants? Où se trouve la frontière? Peut-on le devenir, l’a-t-on toujours été? Et ma propre personne, quelle est la part réelle de magie qui sommeille? Voilà, ici, toutes les questions auxquelles je tenterai de vous répondre humblement.

D’aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais été un individu normal. Il y a, en chaque être, une prédisposition aux arts occultes. Dans mon cas, cela quitte le domaine d’une simple faveur divine, c’était littéralement un destin. Un chemin inéluctable que je du emprunter sans que l’on m’ait demandé mon avis. Le tout débute avec une certaine prédisposition à la clairvoyance. Une facilité mystérieuse à deviner où les objets ont été oubliés, à terminer les phrases des autres, à entendre des bruits qui ne devraient pas être là ou même à faire certains rêves un peu trop précis. Au fil des années et de mes rencontres, j’ai remarqué que beaucoup d’autres enfants partagent ces caractéristiques qui seront, souvent, confondues par leurs parents avec une imagination un peu trop fertile. Les années et l’âge leur feront mettre ces choses de côté et s’y fermer progressivement, mais ce ne fut pas mon cas. Au lieu de cela, d’autres phénomènes semblèrent se manifester alors que les forces de la nature semblaient enclines à me favoriser. Lorsque je souffre, elles me soignent, lentement, mais efficacement. Lorsque passe une année, mon corps semble n’en avoir vu passer qu’un tiers. Mis à part un rhume ici ou là, je n’ai jamais été malade et je ne pense pas pouvoir l’être. De petites choses, certes, mais tant de détails qui me séparent des êtres humains lambda.

Suite à de nombreuses années de formation auprès de mon maître, il y a également quelques petites choses que je peux faire avec aisance, aussi facilement que de respirer. Comme beaucoup d’autres de mes semblables, je ne suis pas étranger à la transformation animale. Si la plupart de mes vis à vis ont une petite préférence pour la transformation en chat, je préfère pour ma part la transformation en un magnifique corbeau aux plumes de suies, parsemé de taches grisonnantes. Il m’est également possible d’user de quelques petites illusions simples, jeux de lumière en tout genre pour tromper l’œil du plus avertit des spectateurs, à l’aide de simples mouvements des mains. De plus, il m’est possible de communiquer avec les esprits de la nature afin d’user, via des outils variés, de sorcellerie véritable.

Dans ma panoplie l’on compte toutes sortes de symboles, des chandelles aux parfums et aux couleurs variées, des cercles incantatoires, des pierres précieuses, de l’encens, une multitude d’ouvrage savants, des plantes, des incantations, des rituels et des méditations apprises au fil du temps. Chaque paramètre est important, jusqu’à la phase de la Lune et l’astrologie. Il suffit de négliger un seul aspect pour qu’un sort se retourne contre son lanceur en répercussions catastrophiques. N’est pas sorcier qui le désire en claquant des doigts. Il y a un pas entre posséder un don et en faire l’usage. Malédictions, communication avec l’au-delà, métamorphoses, annulation de sorts, emprisonnements, alchimie, nommez-les. Moyennant un petit sacrifice mineur, quelques incantations et plusieurs heures de préparation, rien n’est trop beau pour être vrai. Sans doute est-ce pour cela que tant de gens souhaitent me voir finir sur un buché. Allez savoir…


Physique ;


À quoi tu ressembles en quelques mots, juste le nécessaire ♥


Caractère ;


Quinze ligne minimum ♥


Histoire ;


"Ein Männlein steht im Walde ganz still und stumm,
Es hat von lauter Purpur ein Mäntlein um,
Sagt, wer mag das Männlein sein,
Das da steht im Wald allein
Mit dem purpurroten Männtelein."

- Comptine Allemande -


Une simple chanson, un rien du tout, quelques vers tout au plus, accompagnés d'un air tout aussi insignifiant. Pourtant, vous seriez étonnés. Il y a, en ce monde, des formules magiques monstrueusement puissantes et, pourtant, ridiculement banales. Celle là nous appartenait, à ma grande soeur et à moi. Une vieille femme de chambre nous l'avait apprises de sa voix enrouée et rauque. La première fois, je ne l'avais pas aimée. Je roulais des yeux chaque soir et je tournais le dos, lassé par la redondance de cette pratique. Puis, énervée à son tour par mon attitude, Adelheid s'était mise à chanter elle aussi, pour me narguer. Je ne l'aurais pas admis, mais j'avais alors fermé mes yeux d'ambre et savouré ces notes aériennes et douces, enfantines et incertaines, faussant un peu ici ou là. Ein Männlein steht im Walde ganz still und stumm. J'aimais la voix de ma soeur presque autant que je l'aimais elle. De trois ans mon aînée, toujours elle veillait sur moi et me surveillait du coin de l'oeil. Si nos frères se montraient désagréables, Adelheid intervenait toujours. Si je me blessais, elle sortait de nulle part pour s'occuper de ma plaie tout en me grondant pour mon imprudence. Mais ça aussi, c'était un côté de ma soeur que j'aimais. J'aurais fait les cent coups, juste pour que son grand regard de miel se tourne vers moi avec un air de reproche. Ça ne durait jamais longtemps, de toute façon, avant que nous ne passions à autre chose avec une accolade et qu'elle me prenne par la main pour me trainer partout avec elle.

Enfin, pardon, ce portrait familial vous semble probablement incomplet, mais en y repensant aujourd'hui, il n'y avait pour moi qu'Adelheid qui comptait vraiment. Deuxième née d'une fratrie de quatre enfants, elle avait deux ans de moins que Friedrich et sept de plus qu'Heinrich. Une famille tout à fait typique en somme, tant que l'on ne grattait pas le vernis. Dans les faits, il y avait, comme dans toutes bonnes familles, un élément irritant. Moi. Déjà dans l'enfance, je pouvais formuler à haute voix les pensées des autres, instinctivement. Cela posa maints problèmes d'ordre social à la bonne famille des Von Hohenheim qui ne désirait pas faire de vagues, pas de ce genre là dans tous les cas. Si seulement ce n'était que cela, mais il y avait encore une foule de petites choses chez moi qui dérangeaient. Je parlais seul, parfois, selon eux. Pourtant, j'étais toujours certain de converser avec quelqu'un. Enfin, jusqu'à ce qu'on nous surprennes et que mes interlocuteurs disparaissent comme par magie, comme s'ils n'avaient jamais été là. Et puis, il y avait les rêves. Une nuit, je m'éveillai en pleurs, paniqué et criant assez fort pour éveiller toute la maisonnée. Adelheid fut la première à venir me retrouver, mais la vieille servante et ma mère firent leur entrée peu après. Encore dans un état de choc profond, je leur dis que la maison brûlait. Les flammes léchaient les murs, la fumée s'enroulait au plafond et Friedrich se tordait au sol en une tempête de feu, criant et gesticulant comme un animal paniqué que l'on aurait attrapé par la cheville, poussant d'aigus cris de mort. Venant de la part d'un garçon de neuf ans, de telles déclarations étaient au plus inquiétantes, au mieux de simples cauchemars et c'est ainsi qu'elles furent considérées. Certes, il m'était déjà arrivé d'avoir des rêves prémonitoires, mais qui voudrait sérieusement croire celui-là?

L'on se moquait de moi, le gamin qui ne quittait jamais les jupons des femmes et qui jouait les intéressants. Motivé par la compétition, je fis de nombreux efforts pour réprimer ces capacités et agir un peu plus tel qu'on l'attendait de moi, mais au final, quand venait le soir, je chantais toujours doucement avec ma tendre Adelheid. Es hat von lauter Purpur ein Mäntlein um. Elle me jouait alors dans les cheveux tout en souriant, me rassurant. J'était parfait comme cela, disait-elle, ce qui ne l'empêchait pourtant pas de me féliciter et de m'encourager. Ce n'était pas grand chose, mais entendre de ses lèvres que notre père m'avait regardé pendant que je jouais avec les autres jeunes hommes à un sport de balle quelconque suffisait à me faire gonfler le torse d'orgueil et de satisfaction puérile. Jaloux de toute cette affection, très certainement, Friedrich se fit plus dur à mon égard, n'hésitant jamais à me lancer des défis, espérant m'humilier en public. Dommage pour lui que j'eu toujours une chance monstrueuse et une volonté de fer pour rattraper mes nombreuses lacunes. La seule fois où il gagna véritablement, ce fut lors de l'annonce de notre père. Personne ne fut surpris, Friedrich allait prendre une épouse et, d'ici quelques années, hériter de la majorité de la fortune Von Hohenheim. Il se faisait un plaisir de pavaner devant moi avec arrogance, conservant ses promesses d'avenir confortable pour le reste de la fratrie.

J'aurais certes du m'en formaliser, mais j'étais jeune et, la seule chose à laquelle je pensais, c'était que je n'aurais pas aimé être lui. Je n'aurais pas aimé devoir prêter serment devant Dieu et être forcé de chérir une inconnue jusqu'à ce que vienne la mort. Ma soeur me suffisait amplement. Malgré tout, nous étions très différents et, pour lui, ce n'était rien de plus qu'une formalité. Malheureusement, c'est un destin bien plus funeste qui l'attendait. C'est arrivé de nuit, quatre mois avant le grand jour. Un incendie monstrueux s'est déclaré dans l'immémoriale résidence Von Honhenheim. Il n'y eut qu'un seul mort, mais je ne pense pas avoir besoin de vous dire de qui il s'agissait. Toute la famille en fut grandement bouleversée et, si personne ne dit mot, tous les regards n'en étaient pas moins braqués sur moi. Même dans les tréfonds des iris dorés de mon Adelheid, je pouvais voir l'ombre de la peur. J'étais alors âgé de quatorze années à peine.

Notre clan ne pouvait se laisser abattre. Le drame avait été très grand et les funérailles furent coûteuses, mais nous devions tourner la page. Affaiblis financièrement et émotionnellement, le patriarche devait faire quelque chose pour améliorer notre sort à tous. Il fut décidé que, puisque j'étais encore trop jeune pour remplacer Friedrich dans son engagement, l'aînée des enfants Von Honhenheim allait devoir se marier pour sécuriser notre position. Ma belle Adelheid, seize ans à peine, forcée de se marier à un homme adulte qu'elle n'avait jamais rencontré? Forcée de vivre sa vie loin de moi et de se donner à ce... Cette chose immonde. Et elle pleurait le soir. Ses grands yeux de douceurs étaient envahis de larmes alors qu'elle répétait sans cesse. J'ai peur, Ludwig. Je t'en supplie... Fais quelque chose. Je sais que tu peux, tu trouves toujours un moyen. J'ai si peur Lu'. Et je chantais à mon tour pour elle en lui caressant le dos avec maladresse. Sagt, wer mag das Männlein sein. Au fond de mon âme, je cherchais une solution. Une réponse bénie qui ne tarda pas à éclore. Il n'y avait qu'un moyen viable, la fuite pure et simple. Profitant du couvers de la nuit, nous avons fugué.

En cours


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MEG ;


• Comment es-tu là ; À cause d'une amie qui m'a parlé du forum, elle se reconnaîtra peut-être ;)
• Code ; Pains au lait ♥
• Pays ; Canada
• Âge ; 21 ans
• Sexe ; Féminin
• Cookies ou brownies ; Cookies, j'en ai même fait hier! *Offre des cookies*
• Chien ou chat ; Chaaaaaaaat! <3

© Flyremoon.



Dernière édition par Hohenheim Von Ludwig le Mar 21 Juil - 16:27, édité 5 fois
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Harper Elizabeth


Harper Elizabeth
• Avatar : Gatchaman Crowds ; Ichinose Hajime

• Messages : 19
• Date d'inscription : 21/05/2015
• Âge : 27



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MessageSujet: Re: I've got the magic in me | underco'   I've got the magic in me | underco' EmptyMar 21 Juil - 9:14

Eh bien eh bien, bienvenue à toi ♥

Un magicien à ce que je vois. Intéressant. Tu montreras tes tours de magie à Eli, hein ? ☺

Le code est correct, tu ne t'es pas trompée xD Toutefois faudra que je vérifie un truc, tu n'es pas le première à mettre le "c'est" qui n'y pas supposé faire parti du code ewe

Bref, bonne continuation o/
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